Une méthodologie centrée sur le photographe stagiaire, considéré comme un être sensible, engagé et coopératif.

Environnement
Assurer des conditions optimales d’apprentissage
- Lieu atypique, spacieux et convivial : Le Garage Photographie, situé au pied du massif des Calanques, formidable terrain d’expérimentation
- Animateur expérimenté, exigeant et bienveillant : William Guidarini, photographe professionnel et formateur en photographie depuis 10 ans.
- Format de stage unique : 4h30 de formation, en continu pour un nombre participants limité à 6 / stages
- Contenu : 1/3 Technique – 1/3 Mise en pratique sur le terrain – 1/3 Analyse d’images en vidéo-projection

Parcours pédagogique
Garantir la progression, sur la durée, avec différents contenus
- 7 stages techniques et thématiques : pour balayer toute la technique photo et ouvrir son regard.
- Social Cub : un club photo 0% concours – 100 % convivial, le cercle des amateurs de photo qui pratiquent ensemble
- Fabrique du regard : différentes formations à l’année pour parfaire sa technique et développer son écriture photographique

Travail individualisé
Encourager le stagiaire à poursuivre son apprentissage
- Mémo : un support de cours vous est envoyé dans les heures qui suivent le stage, pour vous permettre de reprendre les éléments développés au cours de la formation, et vous exercer.
- Tutos en vidéo : retrouvez sur Internet les Tutos Techniques (à partir de mai 2017).

Méthode
Proposer une méthode d’apprentissage claire et cohérente, en mode Slow Photography !
- Sensibilité et convivialité au centre du processus d’apprentissage
- Construction du savoir-faire dans la coopération (avec les autres stagiaires, avec l’animateur)
- Apprentissage technique au service de la construction d’un regard

S L O W P H O T O G R A P H Y
Pour une approche différente de la photographie.
Les appareils d’aujourd’hui ont des dispositifs remarquables d’automatisme. Il est facile de prendre des centaines de photos et l’apparition des réseaux sociaux a accéléré le flux d’images (2 milliards de photos sont partagées chaque jour sur Facebook, Instagram et FlickR). Mais quel est donc l’avantage de prendre autant de photos ? Et qu’est ce qu’on en fait après ?
Nos appareils sont tellement avancés que regarder ce que nous photographions est devenu strictement facultatif.
La victime de la photographie d’aujourd’hui (fast photography) n’est pas la qualité des photos elles-mêmes. Car dans le lot, il y en aura toujours quelques unes de réussies. La victime, c’est nous. Nous perdons quelque chose d’essentiel : la joie et le plaisir de faire des images !
La slow photography constitue un acte de résistance face à l’accélération du flux d’images et milite pour une (re)prise en main du processus photographique : considérer la photographie comme une expérience vraie et sensible, et non pas comme un moyen rapide d’arriver à une fin.